En milieu professionnel, la réussite d’un projet est souvent mise à l’épreuve par des imprévus tels que des changements de dernière minute, des pannes d’équipements ou l’absence d’un collaborateur important. Il est donc essentiel de savoir anticiper et gérer ces aléas pour mener à bien un projet. Dans cet article, nous vous présentons trois principes essentiels pour anticiper plus efficacement les obstacles en gestion de projet.
La loi de Murphy : anticiper l’inévitable
La loi de Murphy, souvent résumée par l’adage « Tout ce qui peut mal tourner finira par mal tourner » est une règle de base en gestion de projet. Bien que ce principe puisse sembler pessimiste, il est en réalité une forme d’intelligence qui pousse à prévoir l’imprévisible. En intégrant cette loi dans votre approche de gestion, vous serez plus enclin à prévoir des plans B pour chaque étape critique de votre projet. Par exemple, lors de la préparation d’une présentation importante, sauvegardez votre travail non seulement sur votre ordinateur, mais aussi sur une clé USB et dans le cloud. En procédant de la sorte, même en cas de défaillance technique de votre équipement principal, vous aurez toujours accès à vos données.
Pour approfondir vos connaissances sur cette théorie, consultez un site de référence pour voir ces explications à propos de la loi de Murphy. En somme, la loi de Murphy vous enseigne qu’il est préférable de se préparer au pire, tout en espérant le meilleur.
La loi de Pareto : focalisez-vous sur l’essentiel
La loi de Pareto ou règle du 80/20 affirme que 80 % des résultats proviennent de 20 % des causes. En gestion de projet, cela signifie qu’une petite partie des tâches ou des problèmes peut avoir un impact majeur sur l’ensemble du projet. L’identification de ces tâches est essentielle pour garantir qu’elles sont bien gérées. En pratique, cela pourrait signifier qu’une attention particulière doit être accordée à la gestion des risques, à la communication entre les membres de l’équipe et à la surveillance des ressources critiques. En focalisant vos efforts sur ces éléments essentiels, vous pourrez réduire les risques et assurer une exécution plus fluide de votre projet.
La loi de Parkinson : gérez le temps avec sagesse
La loi de Parkinson stipule que “le travail s’étend de manière à occuper tout le temps disponible pour son achèvement”. Autrement dit, plus vous disposez de temps pour accomplir une tâche, plus vous êtes susceptible de procrastiner ou de la percevoir comme plus complexe. En gestion de projet, il est donc essentiel de fixer des délais réalistes, mais serrés, pour éviter les retards et les complications inutiles. Pour mettre en pratique cette loi, définissez des jalons clairs et des échéances précises pour chaque phase de votre projet. Cela permettra à votre équipe de maintenir son attention sur les objectifs principaux et d’éviter de se perdre dans des détails susceptibles de ralentir l’ensemble du processus.